Haute Loire

Paul Watson finalement extradé à Sanssac-l’Église. « La pire sanction possible », selon lui

Le chef de Sea Shepherd Paul Watson a finalement pu quitter la prison de Nuuk au Groënland pour être extradé à Sanssac-l’Eglise, une sorte d’exil plus proche en réalité d’une prison.

Le défenseur des baleines était détenu depuis des mois dans une prison au Groënland. S’il échappe finalement à la justice japonaise, il devra être extradé en Haute-Loire à Sanssac-l’Eglise. Pour Paul Watson, c’est « le pire châtiment possible ». La commune altiligérienne est en effet connue pour son isolement, sa rudesse, son mode de vie austère, et son absence totale d’espèces protégées, à l’exception des habitants. Il s’agit ainsi d’un manque total d’intérêt pour le leader de Sea Shepherd qui devrait terminer sa lutte dans l’oubli.

Piraterie dans une boulangerie

Loin de toute activité et Paul Watson a d’abord déclaré qu’il continuerait coûte que coûte sa lutte pour la défense de l’environnement et de la préservation de la faune et de la flore. L’homme a essayé de se convaincre que les autorités françaises lui laisseraient la possibilité de défendre de la mousse ou du lichens. Il a notamment déclaré être prêt « à saborder n’importe quelle boulangerie, boucherie ou école primaire dont les émanations de vapeurs toxiques détruisent l’écosystème » L’homme sera conduit à la résidence Les vieux sapins mardi prochain, et devra prendre une infusion avec Monique toutes les heures, tout en discutant des faits divers de l’Eveil. Paul Watson connait déjà le supplice qui l’attend et n’a pas caché sa crainte à la fin de son interview : « Sauvez-moi, par pitié », a-t-il conclu.

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