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La Corrèze demande encore à intégrer l’Auvergne. L’accès leur est refusé par les autorités.

La Corrèze demande encore à intégrer l’Auvergne. Comme avec VGE autrefois, l’accès leur est refusé par les autorités. Motif : leur culture violente qui les éloigne des valeurs auvergnates.

La Corrèze, par le biais du président du conseil départemental Pascal Coste, a tenté une nouvelle fois d’intégrer l’Auvergne. La réponse ne s’est pas faite attendre : le Front de Libération Auvergnat, représentant officiel de la région, a rejeté en bloc cette demande qu’il a jugée « grossière et grotesque ». La région AURA, les divers députés auvergnats et les présidents des conseils départementaux sont unanimes : la culture violente de la Corrèze s’éloigne trop des valeurs auvergnates. « On voit bien que dès que l’on s’approche de la Corrèze, et aussi de la Creuse, les gens deviennent violents et ignorants. Regardez les Combrailles et le Montluçonnais ! », analyse avec justesse Lionel Chauvin, président du conseil départemental du Puy-de-Dôme.

Société primitive

La population Corrézienne, soit six agriculteurs, n’a que modérément apprécié ce rejet. Beaucoup ont fait part de leur volonté de s’indigner de cette décision sur les réseaux sociaux, mais aucun ne possédait internet. En guise de protestation, ils ont donc coupé des arbres (les derniers qui subsistaient sur le territoire après la décision de Pascal Coste de déforester pour installer la fibre). Sans internet, sans arbre et surtout sans maîtrise de l’écriture, la Corrèze devrait donc rester encore longtemps une société primitive, loin des standards élevés de l’Auvergne, l’une des régions les plus avancées du monde connu, si l’on fait naturellement abstraction du réseau ferroviaire.

2 commentaires

    1. Bonjour. Je suis né par mitose, issu d’une fourme de Montbrison et affiné dans une cave du Livradois. Mes moisissures nobles ont quelque peu perdu de leur superbe, j’en ai peur.

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