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Poutine déclare l’Occitan comme une menace et envisage d’attaquer l’Auvergne

Vladimir Poutine veut attaquer l’Auvergne, des frappes sont prévues des la semaine prochaine… La raison ? La culture occitane d’Auvergne perçue comme une menace.
La presse russe et les gros titres de la pravda sont sans équivoque : POUTINE NE SUPPORTERA PLUS LES MENACES DE L’ OCCITAN,L’OCCITAN EST UNE MENACE POUR LE PEUPLE RUSSE. Hier en effet la compagnie aérienne Aéroflot a procédé à l arrestation d’une habitante de Salers à l’aéroport international de Moscou. Cette terroriste transportait en effet une bombe d’Auvergnat cola, dont les spécialistes d’Occitan du kremlin ont pu traduire la devise ; fai tot petar, miladiou !! En représailles, l’aéroport d Aurillac sera fermé aux ressortissants des anciennes républiques soviétiques jusqu’aux prochaines chutes de neige, début septembre. Mais surtout la nouvelle de cette bombe a fait le tour des autorités russes, qui ont décidé de réagir avec beaucoup plus de force.
Les zéro habitants du Cézallier menacés d’être bombardés.
Vladimir Poutine a déjà envoyé des espions qui se chargeront d’éliminer les derniers défenseurs de l’Occitan en Auvergne, soit une dizaine de personnes. Mais Poutine ne veut pas faire les choses à moitié. Afin d’être sûr d’être respecté, il a expliqué vouloir raser à l’arme nucléaire plusieurs territoires de l’Auvergne, dont le Cézallier et ses zéro habitants. L’inquiétude monte, mais il n’y aura pas de négociation. Hors de question de brader la culture occitane de l’Auvergne. Seul échappatoire possible : un accord de dernière minute où la Russie serait autorisée à juste bombarder l’Allier. Les deux parties semblent y trouver satisfaction mais rien n’a encore été signé.

3 commentaires

  1. La Republica Occitana (de deman) pòt pas tolerar quelas atacas de Potin dins nòstre caire ! Sèm quí de botar en plaça un batalhon de tres parsonas par prendre le Kremlin !!

    Tremola Potin !!!

    – Le Frònt de Liberacion de la Republica Occitana d’Auvèrnha

  2. Surtout on ne parle pas du vrai scandale sécuritaire : la libre circulation d’une boisson probablement radioactive. Que fait l’Etat ?

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