AuvergneSciences

Mission Artémis : la fusée est biodégradable et devrait fertiliser les sols et les océans de la Terre et des autres planètes.

C’est là une des meilleures idées de la NASA depuis près de 50 ans, car l’agence spatiale a fait en sorte que la fusée utilisée, et que ses parties prévues pour se détacher dans la propulsion, pourront se décomposer et fertiliseront les sols et les océans.

Le vol Artemis vers la Lune a été décalé pour ce samedi suite à une bourde d’un stagiaire au niveau de l’électrotechnique. L’occasion de revenir en détails sur l’une des particularités de cette fusée. Les ingénieurs ont trouvé l’idée de construire l’appareil en fibres de cellulose entre chaque plaque métallique. « On entend de plus en plus les dirigeants nous dire qu’il faut économiser l’énergie, on voit bien que le climat se réchauffe et qu’il faut d’urgence mettre en place les alternatives », explique John-William Pancake, l’un des ingénieurs. « Et voilà qu’une fusée part pour la Lune, là on est pas mal niveau gaspillage d’énergie ! »

Toujours plus loin, toujours plus fort

En cas d’échec et de chute en Auvergne, la fusée pourrait ainsi nourrir les sols de la Limagne. Dans une fin plus heureuse, la fusée mènera à des buts de colonisation interstellaire. « L’idée suivante sera bien entendu d’installer une base lunaire pour les prochaines missions pour Mars. Et ensuite de quoi, selon les idées surgies d’un brainstorming entre les experts, de coloniser les surfaces de Jupiter et d’Uranus avant de conquérir le reste de la Voie Lactée. « Et bien entendu, tous nos vaisseaux pourront être réutilisable et pourront servir d’engrais pour faire pousser des endives. Eh oui, on a pensé à tout ! » conclut le scientifique.

1 commentaire

Laisser une réponse