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Lancement de la machette « La Riomoise »,

Inspirée librement des armes clandestines du pénitencier de Riom, la machette « La Riomoise » fait son apparition dans l’ancienne capitale administrative d’Auvergne. La cité se dote ainsi d’une nouvelle spécialité qui ravira petits et grands. 
« Les plus grandes villes touristiques d’Auvergne possèdent un couteau sauf nous. On devait réagir. », nous explique Christophe Roux, buraliste mais aussi co-inventeur de la machette « La Riomoise ». Fier, il nous présente l’arme, d’environ 70 centimètres, légèrement courbée et dotée d’un manche en bois d’arbre authentique. « J’ai proposé aux frères Dubesset, couteliers de Celles-sur-Durolle, de venir nous apporter leur savoir-faire. On a ensuite cherché ensemble quelque chose qui rappelait le patrimoine riomois. On a tout de suite pensé au pénitencier. »
Un outil utile au quotidien
La machette « La Riomoise » sera pratique dans toutes les tâches du quotidien. Utile pour découper du pain, de la viande, pour faucher des hautes herbes, « La Riomoise » est aussi très appréciable en en combat singulier ou comme jouet dans les cours de récréation. « On voulait quelque chose qui parle à tout le monde, qui soit à la fois fonctionnel et divertissant », assure Christophe Roux. « C’est presque un objet de collection, de prestige. On peut aussi simplement mettre sa machette au mur comme décoration. »
Un risque 0 assuré
Certains ont décrié la potentielle dangerosité de la machette. Mais les frères Dubesset le promettent, cette machette n’est pas dangereuse. « Ah moins d’être vraiment maladroit ou très très con, il n’y a aucune raison de s’en faire. » rassure l’un d’eux. Pourtant, depuis sa sortie, cinq personnes victimes du syndrome de Pierre Richard se sont auto-décapitées et trois ont perdu leur bras, confondant leur membre avec une baguette. Les créateurs de « La Riomoise » devront donc rembourser leur client. Rappelons que l’outil est garanti deux ans et assuré contre toutes maladresses.
 

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