La science répond à nos questions : est-ce que la neige se fait mal quand elle tombe ?
C’est la question qui a été posée au Dr Jesshui Sadik de l’Institut des Hautes Etudes Climatologiques de la Bourboule par notre journal ce vendredi. Le chercheur, prix Nobel de neigeologie 2014, a déclaré que, en théorie, le taux de particules fines dans l’air rapporté à la densité et à la masse de chaque flocon en mouvement dans une atmosphère régie par les lois de la gravité terrestre pondérées par la variable température en constance évolution le long du gradient altitudinal de la trajectoire modélisée d’un flocon dans une tempête, au sein de laquelle l’effet du nombre ne rend pas le mouvement aléatoire, était favorable à l’amortissement de la chute de la neige.
Toutefois, ayant reproduit l’expérience de la chute en laboratoire avec des souris dans les conditions du réel, il affirme que la neige souffre de sa chute non seulement physiquement mais aussi psychologiquement et que, si elle ne modifiait pas son comportement depuis que le monde est monde, elle devait être atteinte de masochisme, de schizophrénie et d’un peu de paranoïa.
En d’autres termes, la neige est un danger pour la société car, en prenant les gens de haut sans aucune conscience de ses actes et sans aucun contrôle, elle peut tomber sur n’importe qui.
Un bien bel exposé qui a conduit le préfet de région a promulgué un arrêté d’internement de la neige sur le massif du Sancy sous la surveillance étroite des moniteurs de ski.