Le président Emmanuel Macron a décidé de nommer l’entraineur de l’ASM Christophe Urios au poste de Premier Ministre.
Sans solution après la motion de censure et de la départ de Michel Barnier, le président Macron a décidé de nommer Christophe Urios premier ministre. « C’est un choix réfléchi, démocratique, rassembleur qui m’a été donné de faire. M. Urios saura par ses mots tirer le meilleur de chaque camp politique et enfin proposer un consensus qui servira avant tout l’intérêt du pays », a déclaré l’homme d’Etat, soucieux de préserver l’esprit de concorde. A peine nommé l’entraineur de l’ASM a annoncé qu’il serait prêt à prendre ses responsabilités : « Putain, je suis nommé, c’est quoi ces conneries » ? a-t-il solennellement déclaré.
« Ca me casse les couilles »
Interrogé sur son futur gouvernement et son programme, le manager est resté évasif : « Franchement, le programme, ca me casse les couilles. Moi, je veux de vrais hommes sur le terrain, qui se fracassent tout de suite. Je veux qu’on montre un peu de fierté », a-t-il annoncé. Il n’a pas souhaité délivrer de noms précis. « Il me faut avant tout des avants forts, un pilier consistant, qui fasse de la masse, un Gérard Larcher, mais qui se déplace plus vite », a-t-il avancé. Sans préciser d’orientation politique, et en s’orientant davantage sur des profils musclés, Christophe Urios devrait donc rassembler toutes les sensibilités et permettre enfin un gouvernement d’union. « Franchement, si on reste à l’Assemblée et qu’on joue à domicile, ca devrait le faire », a-t-il conclu.