Votre désespoir est maintenant total. Vous cherchez autour de vous une montagne de glaçons, mais à part Aurillac, il n’y a rien.
Cette blague ne vous fait plus du tout rire. Vous transpirez à chaudes gouttes en lisant ses lignes. Vous vous liquéfiez sur place alors que vous avez déjà pris deux douches et bu trente verres d’eau. Vous savez pertinemment que vous ne pourrez pas nager dans une montagne de glaçons, que la journée sera très longue, et que cela sera pire demain. Vous maudissez le sadisme de notre rédaction, qui se rit de vous, depuis qu’elle s’est exilée au Groënland où, grâce au réchauffement, il ne fait que 25°C.
Fuir à Aurillac ou au Mezenc
Votre salut est peut être encore de vous rendre dans les rares endroits où la température n’excède pas encore 3°C : il reste encore Aurillac, uniquement accessible en calèche ou à pied, ou le mont Mezenc, mais qui reste très surveillé par 8000 policiers dans l’attente de son ascension par Laurent Wauquiez. Alors que faire ? Tentez votre chance, ou restez ici, et rappelez vous qu’utiliser votre téléphone ou votre ordinateur pour lire ces lignes inutiles produit encore davantage de chaleur…
