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Ces signes révélateurs qui indiquent que vous êtes un aligot

Qui n’a jamais eu l’impression par moment de ne pas se sentir à sa place, d’être à côté de ses pompes ou de ne plus avoir de repères ? Ces troubles ont une origine et une signification. Pour certains, il s’agit de votre corps qui indique qu’il est temps de changer, pour d’autres, un lendemain de beuverie, et encore pour d’autres, que vous n’êtes peut être pas ce que vous croyez.

C’est un syndrome de plus en plus fréquent qui est apparu suite au premier confinement. Beaucoup de gens cloîtrés chez eux ont développé des tendances ou des passions qui leur était inconnues, comme un intérêt pour les saucisses, ou la laitue d’accompagnement. Mais d’après le docteur Tropézienne, le tout premier signe précurseur et qui met en alerte est une identification à la tome fraîche de montagne. « Ah oui, c’est là qu’il faut faire gaffe », prévient-il. « Non parce que si votre conjoint ou autre vous dit du jour au lendemain qu’il se prend pour du fromage, qu’il rêve de fromage ou qu’il vous parle en fromage, là il n’y a qu’une seule solution. Radicale, certes, mais efficace. Et non, il ne s’agit pas de le faire fondre (quoi que…), mais de le mettre au boulot pour qu’il vous fasse de l’aligot par kilo ! »

Des risques d’autophagie

Pour se faire, il suffit de pomme de terre à purée (comme la binje), de l’aïl, de la tome fraîche, donc et de saucisses. Mais la personnification va encore plus loin, toujours d’après le docteur Tropézienne. « Si le malade ne bouge plus et scande à la longue qu’il est un aligot, là ça devient grave. C’est surtout pour les personnes seules que ça peut devenir dramatique, car elles ne pourront pas être signalées à temps et vient ensuite l’arrêt de l’alimentation. Et ça devient de l’autophagie, la dernière étape. » Un syndrome encore méconnu et qui toucherait plus de monde que l’on ne pourrait le croire, mais qui peut être pris en charge.

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