Notre Top 5 des lieux auvergnats où trouver du muguet, des morilles et du cannabis
Tout bon auvergnat qui se respecte connaît les bons coins à muguet, jonquille, narcisses, morilles ou cèpes. Mais connaissez-vous les lieux où ils se trouvent tous ensemble, avec en prime du cannabis ?
1- La Place Saint Pierre, à Clermont-Ferrand. Car comme de jour, comme de nuit (aux alentours de 3h), on trouve absolument de tout. Que vous rentriez dans le marché ou que vous vous fassiez aborder dans la rue, attention aux prix, car tous les cas vous aurez le sentiment de vous faire voler.
2- La frontière Altiligéro-ardéchoise. En ce lieu magique de haute altitude, par-delà le Mézenc, vous trouverez fleurs et champignons à profusion. Mais aussi du cannabis, grâce aux planteurs ardéchois qui sillonnent régulièrement la montagne. Soyez patients seulement, et contemplez longuement les hauteurs en attendant.
3- A l’usine Adisseo de Commentry. Et oui, tous ces éléments peuvent se trouver ici. Mais uniquement si vous inhalez les vapeurs toxiques de longues minutes. Vous verrez alors apparaitre une foules de plantes et de champignons.
4- Dans le bureau du maire d’Aurillac. Passionné de fleurs et de champignons, Pierre Mathonier collecte absolument tout et le rassemble dans le bureau de sa mairie. Il dispose également de 17 458 tonnes de cannabis (soit les lots confisqués aux festivaliers lors du dernier festival de rue de la ville).
5- Chez mamie Gluton. Mamie Gluton, résidant dans un hameau perdu du Livradois, possède depuis des dizaines d’années, des centaines de kilos de fleurs et de champignons séchées. Et ce à 107 ans… Son secret pour tenir la forme ? Le cannabis tout simplement. « Vous savez, vivre seule dans le Livradois, c’est une épreuve du quotidien. Alors je fais pousser de l’herbe ». confie-t-elle.
Top 6 Bonus : Au poste de gendarmerie nationale de Pontaumur, dans les Combrailles. Car oui, ici, on confisque absolument tous les produits liés à de la contrebande. Les revendeurs illégaux de champignons, de fleurs ou de cannabis sont légions dans les Combrailles. Mais alors, que fait-on des biens saisis ? « Soit pour la décoration, soit en omelette, soit… pour des tests préventifs » assure le brigadier chef.
