Au bistrot avec… Jean-Pierre Brenas
C’est au bar Au lever de coude que nous rencontrons le candidat à la mairie de Clermont-Ferrand. Le but ? Qu’il nous délivre ses idées pour la ville et la métropole, le tout arrosé de quelques pintes…
La Mentable : M. Brenas, bonjour, vous êtes à nouveau en lice pour la mairie de CF, comment vous qualifieriez-vous auprès des clermontois.e.s ?
Jean-Pierre Brenas : Eh bien je suis dans l’opposition, donc quand le maire propose un projet ou une idée, je dis non. Parfois par conviction, souvent par principe. Encore plus souvent par automatisme…
LM : Quelle serait votre plus grand projet pour la ville si vous étiez élu ?
JPB : (vidant son premier verre) Déjà, ce serait de nettoyer la ville. Y mettre des vélos électriques partout et de dissuader les automobilistes de rouler dans le centre-ville. D’une part pour ça, de supprimer les parkings à voitures et de les remplacer par des rangements à vélos. Et des pistes cyclables plus nombreuses, faisant le trajet jusqu’à l’Atlantique, dans un premier temps.
LM : Que feriez-vous pour la sécurité des habitants ? Armeriez-vous la police de proximité ?
JPB : (attaquant sa deuxième chope et croquant quelques chips) : J’hésite encore entre des LBD et des balles réelles pour équiper les agents. Qu’ils puissent faire feu sur toutes personnes suspectes à leurs yeux. Car après tout, les voyous, tout ce qui les intéressent, c’est de taper les forces de l’ordre et crier dans les transports en communs sans payer leur ticket. Alors mieux vaut prévenir que guérir.
LM : Je vous laisse carte blanche, si vous voulez passer un message personnel aux lecteurs et aux clermontois.e.s.
JPB : (l’air un peu rougeaud et vidant sa troisième pinte) : De toute façon, ça va se régler entre moi et Bianchi, c’est du tout cuit ! Et si ça lui convient pas, on va régler ça à l’ancienne, entre hommes, au coucher du soleil et devant le saloon !