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L’ISF instauré pour les Auvergnats, jugés trop radins

Le retour de l’instauration de l’ISF était très attendu des annonces du président hier. Si E. Macron a exclu cette idée à l’échelle nationale, il a toutefois précisé que l’imposition sur la fortune concernerait les Auvergnats.

Le président affiche soudain un air grave. Face aux caméras, il annonce solennellement : « Les Auvergnats stockent de l’argent depuis des années, ils n’échapperont pas aussi facilement à l’ISF. Nous devions gommer cette injustice. » Une mesure qui ne satisfait qu’à moitié les Gilets jaunes et provoque le courroux des Auvergnats.

Les Auvergnats révoltés

« Il faut arrêter les conneries, ce n’est pas parce que l’on stocke des centimes dans des burons depuis des siècles qu’il faut nous imposer l’ISF ! », s’emporte Michouquette Brusgouingouin, éleveur à Chambon-sur-Lac. Comme lui, des milliers d’Auvergnats devront payer l’ISF simplement du fait d’être né dans la région. Seuls les Bourbonnais devraient être exemptés de l’impôt.

Les Gilets jaunes partagés

« Si on récupère l’argent économisé par les Auvergnats, on devrait augmenter la croissance d’un ou deux points », positive André Brebreu, Gilet jaune depuis le 17 novembre. A côté, Lucienne Yolo ne semble pas satisfaite : « On taxe encore le peuple, c’est une honte. Les Auvergnats sont moins radins qu’on ne le pense, je suis sûr qu’ils ne vont rien rapporter ! On fera mieux de rétablir l’ISF dans sa globalité ou alors aux Corses… »

Des grandes manifestations sont prévues partout en Auvergne. Les forces de l’ordre craignent des débordements. Plusieurs bâtiments pourraient même être scellés avec de la tome fraîche de cantal…

 

 

1 commentaire

  1. […] Les trois randonneurs n’en reviennent toujours pas. Ils sont tous les trois persuadés d’avoir aperçu Georges Brassens, pourtant disparu depuis le 29 octobre 1981. « On a écouté des chants lointains. Ils étaient portés par les vents. On a continué au-delà du Roc des Ombres, on est arrivé vers la Roche Taillade, et là, paf, on tombe sur le chanteur en personne ! », témoigne Hubert Rhêta, ému. Son ami Charles Gerbhé détaille la rencontre : « C’était les paroles de Toi L’Auvergnat ; et par moment il rajoutait des phrases inédites. Je me souviens d’une d’entre elles, il disait « Auvergnat, tu n’es point radin, tu ne paieras pas l’ISF, continue ton chemin, cache-toi dans le relief », une référence à l’actualité. […]

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