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RANDO. On a testé pour vous : les gorges d’Enval

Une randonnée testée par Terry Toirachié

Troisième volet d’une longue série : « récits de rando » avec des propos subjectifs et de mauvaise foi, mais toujours avec une fin heureuse !

Entremêlant les reflets du soleil sur l’eau, la fraîcheur des bois et les battements d’ailes des papillons, la balade des Gorges d’Enval à Enval (Riom-Limagne) ravira les promeneurs du dimanche. La marche est une véritable ode à la nature, où règnent la paix et l’harmonie. Je me suis laissé guider au fil de l’eau et ai pris pour vous les meilleures photos de cette formidable odyssée. Récit d’une randonnée à faire et à refaire, ou pas !

 

J’arrive au parking des Gorges d’Enval. Un endroit idyllique et mystérieux, loin de la civilisation. Je n’attends pas d’emprunter les premiers sentiers et prends une photo pour immortaliser l’instant.

 

 

 

 

Sur la droite du parking, un sentier mène aux flux de l’Ambène, la rivière que je vais explorer. Hélas, un panneau posé récemment m’indique que je ne suis ni sur la bonne route ni au bon endroit. J’hésite à continuer.

 

 

 

 

En regardant les panneaux à l’envers, je parviens à retrouver le chemin. Il faudra emprunter un magnifique petit sentier bordé de hêtres, aux berges colorées d’anémones sauvages. Je marche, le cœur allégé par la poésie du printemps.

 

 

 

 

 

Le sentier est petit et rustique. Il rappelle mes années d’enfance. Une vraie immersion nature, où les rais de lumière enveloppent mes pas.

 

 

 

 

Après une courte ascension, enfin me voici récompensé ! La voilà, la magnifique eau de l’Ambène, ses ruissellements chatoyants qui ravivent les bois, ses petites chutes merveilleuses que l’on n’imagine que dans les contes !

 

 

 

Les Gorges d’Enval sont un petit paradis terrestre. Les oiseaux chantent, les papillons naviguent, les fleurs blanches et violettes nichent entre les hêtres et leur tapis de mousse. Et l’eau navigue paisiblement.

 

 

 

 

 

Je suis fatigué d’avoir marché 45 min et je reviens sur mes pas. Je ne ferai pas la la boucle complète. Exténué par la descente qui me prend 35 minutes, je décide en arrivant de faire une pause sur un banc confortable. Il est idéalement placé, à cinq mètres de la voiture.

 

 

 

 

Avant de partir, je suis pris de remords. Alors je réalise une ultime photo, pour me souvenir une dernière fois de cet endroit merveilleux et bucolique.

 

 

 

 

 

 

 

Bon, peut-être ai-je  loupé quelque chose ? Dans le doute, je vous laisse une photo que j’avais mise dans la corbeille. L’endroit, de moindre qualité, ne faisait pas l’unanimité dans la rédaction. Nous espérons toutefois qu’il vous fera voyager autant que les images précédentes.

 

 

 

1 commentaire

  1. ravie de ne pas avoir a me déplacer (couple en situation de handicape) pour de la verdure, la même que dans la pas de calais d’où je viens.
    MERCI DE VOUS ETES DEPLACER POUR NOUS.

    ne changer pas c très instructif

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