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Un confiseur se confie et se fait sucrer son permis

Après un échange avec les policiers, un confiseur se fait sucrer son permis.

L’affaire, qui au départ aurait pu apparaître comme un simple fait divers, s’est transformée en véritable affaire. Voici les faits : un confiseur, nommé Ray, part de chez lui en direction de sa confiserie installée à Cambrai. L’homme conduit un berlingot.

Sur la route, Ray glisse  et percute un car « en barre ». Le caramel est rude, violent, soudain, mais heureusement sans gravité. De peur, Ray explique s’être gélifié.  « Je savais que j’avais fait une bêtise ».  Mais au lieu de s’arrêter, Ray, dans la panique, oublie de freiner et continue de patiner. À partir de là, l’affaire part en sucette.

Un incident qui part en cacahuète.

Ray est arrêté 50 mètres plus loin par une voiture de police. Il parvient à s’immobiliser. Refusant de se déclarer fautif auprès des deux agents, le confiseur se confie au début maladroitement, craignant que  l’addition pour une possible infraction soit salée. Voyant que cela ne prend pas, Ray se ressaisit et tient la dragée haute aux deux agents de l’ordre, Guy et Kalie. Cette dernière témoigne : « Mon collègue était médusé. Je vous assure que quand je vois Guy mauve, il faut réellement s’inquiéter. C’était allé trop loin. » Son collègue approuve. « Kalie voit toujours juste. En général, les Kalie sont d’excellentes policières. » Résultat, un retrait de permis et un jour au poste. Mais quand il nous voit, Ray ne mâche pourtant pas ses mots : « Je suis innocent. J’ai simplement été pris de panique. Je sais que j’aurais dû m’arrêter. » Furieux, l’homme a réalisé une pâte d’amende  et a écrit une lettre de cachou au ministère.


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