Le procès du professeur de 31 ans qui entretenait une relation avec son élève de 14 ans en Seine-et-Marne concentre toutes les attentions et alimente les discussions autour du projet de loi qui prévoit un âge minimum pour le contentement sexuel.
Alors que le débat de société se concentre sur cet âge minimum, le sujet de l’âge maximum pour nos seniors commence aussi a être discuté dans les clubs du troisième âge, les maisons de retraite et parmi les parlementaires français.
Qui dit « âge minimum » dit « âge maximum », argumentent les élus qui ont pris le sujet à bras le corps.
Ainsi un âge maximum pourrait être ajouté dans le texte de loi, selon une source proche d’un député.
« Nos seniors, à partir d’un certain âge, ne sont plus très responsables de leurs actes. Des personnes malveillantes pourraient abuser de cette faiblesse », explique-t-il.
Notre interlocuteur va même plus loin, « On peut considérer qu’à partir de 77 ans, une personne n’est plus vraiment en capacité de dire non ».
D’après les informations dont nous disposons, ce serait Michel Sardou, âgé de 70 ans, qui aurait susurré l’idée.
En clair, la loi pourrait considérer que toute relation sexuelle entre un individu de moins de 15 ans, ou de plus de 77 ans, et un majeur ne peut avoir été librement consentie et relève automatiquement de l’agression sexuelle ou du viol.
Et pour fêter les 30 ans du journal de Tintin « Le journal des jeunes de 7 à 77 ans », une nouvelle édition pourrait voir le jour sous le titre » Le Super journal des jeunes de 15 à 77 ans » dès l’année prochaine.
