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Pâques : Des archéologues ouvrent le tombeau du Christ et découvrent Didier Raoult

Le Dimanche de Pâques célèbre théoriquement la résurrection du Christ après avoir été crucifié. Ses fidèles avaient ouvert son tombeau inexplicablement vide… Pour en avoir le cœur net, des archéologues ont recherché à nouveau la tombe du Christ et l’on  retrouvé. Mais surprise à l’intérieur, il y avait quelqu’un en la personne de Didier Raoult.

« C’est une découverte exceptionnelle, inédite, incroyable, qui va révolutionner le monde ! » s’emporte l’archéologue américain auteur de la découverte, Indiana Nasse. En effet, l’homme a trouvé à l’intérieur du tombeau du Christ le docteur français Didier Raoult. Ce dernier demeurait intact, bras croisés, digérant une blanquette de veau. Aussitôt, des centaines de médias se sont pressés immédiatement sur les lieux. M. Raoult n’a pas tardé à délivrer son message : « Ni Dieu, Ni Jésus, Ni le Saint Esprit ne sont vos sauveurs. Le sauveur, c’est moi. Et l’hydroxychloroquine le prouvera au monde entier ! »

Masque Saint-Suaire

Après le discours de M. Raoult, s’en est suivi un miracle. Le chercheur a soudainement disparu, emporté à l’aéroport par un grand objet volant le menant vers des cieux lointains. Les archéologues se sont cependant consolés avec des objets mystérieux retrouvés au fond de la sépulture : Un masque de protection épousant la forme du visage de Didier Raoult, et une bouteille de gel hydroalcoolique, un objet extrêmement rare, notamment en France. Ces trouvailles seront prochainement exposées au musée du Louvre.

1 commentaire

  1. Les deux niveaux inferieurs de la facade comportent les portails, qui sont un peu caches par le double porche. L’architecture de celui-ci est avant tout fonctionnelle. Il est epaule par quatre contreforts regardant vers l’ouest, qui delimitent deux arcades particulierement etroites, et une arcade largement ouverte. Les deux contreforts encadrant l’arcade centrale sont plus etroits, mais sinon analogues aux contreforts des elevations laterales. Ils se terminent egalement par des clochetons. Chaque etage se termine par une frise de crochets et une balustrade. Les arcades ont des archivoltes moulurees et s’ouvrent entre deux paires de colonnettes a chapiteaux. Les chapiteaux des arcades etroites se situent largement en dessous de la retombee des arcs, surtout au rez-de-chaussee, ou ils sont alignes sur ceux de l’arcade centrale. Ce qui fait l’interet de la partie inferieure de la facade, sont bien sur les portails. Leur statuaire avait ete integralement detruit a la Revolution, ne laissant subsister que les contours. On doit la reconstitution a Geoffroy-Dechaume, qui a egalement mene les recherches prealables. La Vierge a l’Enfant du trumeau du portail inferieur etait reputee miraculeuse : Vers 1304, le theologien Jean Duns Scot aurait prie devant cette statue, et elle aurait penche sa tete comme signe d’approbation de la theorie de l’ Immaculee Conception enseignee par ce docteur. Le soubassement du trumeau et les stylobates sur lesquels reposent les deux groupes de quatre colonnettes sont couverts de losanges galonnes, ou alternent fleurs de lys et chateaux de Castille. Le tympan represente le Couronnement de la Vierge et est inspire du portail nord de la facade occidentale de la cathedrale Notre-Dame, ainsi que du portail principal de la basilique de Longpont-sur-Orge. Le Jugement dernier est represente sur le portail de la chapelle haute. Les principaux elements iconographiques sont attestes pour le portail d’origine. Un Christ benissant accueille les fideles depuis le trumeau. Des cordons de fleurs et de feuillages sont inseres entre les colonnettes, dont les stylobates comportent de petits bas-reliefs avec des scenes de l’ Ancien Testament, dont l’histoire de Jonas, non sans rapport avec le sujet principal. Le linteau represente la resurrection generale des morts, avec au milieu, saint Michel procedant a la pesee des ames et part et d’autre, les morts qui soulevent leur dalle funeraire au son des olifants des anges. A gauche, Abraham recoit dans son sein les ames elues, symbolisees par de petits personnages nus. Au tympan, figure le Christ Redempteur. La Vierge est assise a sa droite, et saint Jean a sa gauche, intercedant pour le sort des ames. Deux anges agenouilles tiennent des instruments de la Passion (couronne d’epines et lance a gauche, croix et clous a droite). Les trois voussures de l’archivolte contiennent seize anges qui conduisent les ames au ciel, apportent des couronnes, et tiennent des encensoirs, puis deux groupes d’elus : dix martyrs qui montrent les instruments de leurs souffrances, et les Douze Apotres. Le baron Ferdinand de Guilhermy loue la patience et l’adresse du sculpteur, et rapporte que le portail etait jadis celebre parmi les hermetistes, et que de singulieres interpretations ont ete livrees dans les traites de sciences occultes. Les vantaux d’origine subsistent, mais leur etat de conservation a motive la mise en place de copies. Ils presentent un arc ogival avec crossettes et fleuron

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