Destitué, l’ancien président Bolsonaro a été dévoré par une tribu cannibale d’Amazonie
L’ancien président Lula revient au pouvoir et chasse l’ex leader d’extrême droite Jaïr Bolsonaro. Ce dernier a été aussitôt dévoré par les autochtones d’Amazonie.
Grâce à une victoire à l’arraché, l’homme de gauche Lula redevient président du Brésil. Il a surtout poussé vers la sortie le populiste d’extrême droite Jaïr Bolsonaro, très décrié dans le monde pour avoir fait brûler une grande partie de la forêt amazonienne. Comme le prévoit le règlement de la Constitution de ce pays démocratique, le vaincu doit être exécuté par une population affectée par les lois appliquées par le président sortant. Ainsi, Bolso a été jeté en plein milieu de l’Amazonie et a été cuisiné puis mangé par des cannibales.
Un goût fumé mais un peu rance
Les autochtones ont modérément apprécié la chair de Bolsonaro, qu’ils ont trouvé certes un peu fumée (grâce à la cuisson en bois exotique), mais également trop rance. Le chef de la tribu témoigne : « Basten Aha Tchipchip ». Des propos qui en disent long sur ce repas. Les os de l’ancien leader seront utilisés comme engrais et devraient servir à faire pousser un arbre. Une maigre compensation après les 40 000km² détruits, mais au moins l’ancien président aura un petit peu contribué à la reforestation.
Faut-il tirer sur l’ambulance ou crier haro sur le baudet quand on pense qu’au XIVeme siècle les forêts de chênes des monts de la Margeride étaient réputées pour leur luxuriance que les monastères cisterciens n’ont pas hésité à abattre pour en faire des crucifix des chapelets et autres pendentifs propres à l’essor du commerce pennot.
Je pense qu’il faudrait livrer nos élus aux cannibales bourbonnais de la forêt de Tronçais