Politique

Remaniement : le roi déclare vouloir prendre les gueux encore plus pour des cons

Sa majesté Macron a permis à son fidèle bouffon Castex, dit la marmotte molle des Pyrénées, de former un nouveau corps de bouffons qui saura le divertir pendant qu’il infligera de nouveaux sévices à la piétaille populaire.

« Ce confinement morne a fait descendre les réserves de mes créanciers du CAC40. Je me sentais las depuis plusieurs jours. Il fallait agir », a raconté ce matin le président Emmanuel Macron. Après un déjeuner riche de quarante couverts, le monarque s’est retiré dans ses jardins pour un cours de clavecin avec Brigitte Macron. Dans le même temps, le nouveau bouffon du roi, le débonnaire Jean Castex, a annoncé la liste du gouvernement : peu de changements et des postes même consolidés pour les ministres qui s’étaient montrés les plus méprisants envers la nation.

Macron salue sa nouvelle cour

Après son cours de clavecin, le président a tenu à préciser que ce remaniement n’était qu’une pure boutade, qui l’a beaucoup amusé. « Je voulais prendre les gueux encore plus pour des cons et je crois que j’ai réussi. Maintenant il est temps de cesser de rire et d’imposer la réforme des retraites. Je ne veux plus voir ces gueux survivre avec une retraite convenable, il est temps qu’ils se sentent obligés de travailler jusqu’à 80 ans… » Le président a aussi déclaré qu’il se sentait heureux d’avoir confié le super-ministère de la culture et de l’éducation à Jean-Michel Blanquer, dit la grosse peluche de Saint Bernard. « Non seulement il est très drôle, car on le contredit tout le temps, mais en plus il va réussir à licencier un maximum dans ces secteurs inutiles. Il sait dégager de l’or pour la couronne ».

Le pouvoir jusqu’en 2042

Le roi s’est montré plus évasif quant à ses chances de l’emporter en 2022. En effet, sa majesté ne serait plus crédité que 0,7% des suffrages, derrière Gérard Schivardi , Jean-Marie Bigard ou encore Moundir, ancien participant de Koh Lanta . L’homme espère pourtant demeurer sur le trône jusqu’en 2042, grâce à un jeu d’alliances féodales avec les courtisans LR et les félons du PS, comme le fût jadis le déchu Gérard Collomb.  Quand on lui dit que ses chances sont faibles, il relativise : « Au pire, je pourrai compter sur une victoire de Philippe en 2022, mon fidèle sujet qui a gracieusement exécuté mes ordres. Par solidarité, il me nommera peut-être Premier Ministre. Du moment qu’il ne nomme pas Valls… »

 

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