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Recherches au Loch Ness : des traces d’ADN de licorne découvertes mais toujours pas de monstre marin

Un chercheur  néozélandais scanne depuis plusieurs semaines l’ADN du lac pour prouver l’existence du monstre. Si les premières découvertes n’ont rien montré de signifiant, les dernières analyses révèlent au contraire des choses étonnantes !

Le soleil se couche sur le Loch Ness. Il est 11h. Une fine brume enveloppe l’étendue d’eau calme. Le chercheur Neill Gemmel est devant son laboratoire, perché aux abords du lac. Face à nos journalistes, il se montre tout sourire. Il nous assure avoir retrouvé de l’ADN de licorne, de bête du Gévaudan, peut-être du minotaure et même de Jésus Christ, même s’il préfère encore ne pas trop s’avancer. Son seul regret, « n’avoir pas encore trouvé des traces de ce maudit monstre marin ». Ces découvertes restent toutefois étonnantes et rameutent de nouveaux curieux ainsi que des experts.

Un monstre du Loch Ness pas si solitaire

« Ces découvertes sont incroyables. Nous avons même eu des rumeurs comme quoi le scientifique avait retrouvé de l’ADN de Cantal et de VGE. Nous sommes venus ici pour vérifier la véracité de ses recherches et aider le scientifique dans son travail », nous explique le chercheur albanais Buzagaz Propan, enthousiaste. Lui même prétend avoir découvert dans son pays, au lac Prespa, la tête d’un brachiosaure. L’homme connaît son métier. Il est accompagné de tout un arsenal d’épuisettes, de filets et de sondes. »Je veux voir le Minotaure et Giscard de mes propres yeux. Rendez-vous compte, des créatures que l’on a pas revues depuis l’Antiquité ! »

Whisky et scepticisme

Pour de nombreux membres de la communauté scientifique, les résultats obtenus par Neill Gemmel sont faux. D’après le chercheur américain Eliott Nessy, « Neill abuse un peu trop du scotch ». Il est vrai que plusieurs témoins rapportent avoir vu le néozélandais vider en moins de trente minute une bouteille de Glendronach Cask Strenght et le lendemain l’intégralité d’un Aberlour 18 ans. Ces moments de « dégustation » ont été suivis des découvertes intrigantes sur l’ADN. Simple coïncidence ? Le doute reste permis.

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