Portrait de Gontran Mareux, le seul auvergnat à s’être intéressé au mariage princier
C’est dans son studio que nous a reçu M. Mareux. Sont affichées sur les murs des photos de la reine Elizabeth II et de sa famille, ainsi que des clichés du dernier mariage, celui de Kate et William.
Le week-end dernier, sa télévision diffusait en continu le direct de l’événement se déroulant au château de Windsor, et M. Mareux alternait son attention à la fois sur notre journaliste et sur la cérémonie. C’est très ému – lorsque Morghan et William se sont embrassés – que Gontran nous a expliqué tout l’intérêt qu’il porte à la royauté britannique : « Cela a commencé quand j’étais petit, débute-t-il, je révisais mes cours d’histoire pour l’école, puis mes recherches m’ont amené sur un sujet à propos sur la royauté britannique. Et sans pouvoir me l’expliquer, je me suis pris d’un grand intérêt pour cette monarchie. Peut-être trouvais-je la reine Elizabeth II exceptionnelle ? Tout le faste et le cachet qui se dégageaient de cette personne ont su me convaincre. Je ne pourrai pas être plus explicite. À moins que ce ne soit son sex-appeal, l’élégance de ses robes, ou la circonférence des oreilles de Charles… »
Puis Gontran a poursuivi ses recherches historiques sur les monarchies européennes, mais sa préférée restera celle des Windsor.
« J’ai beaucoup regretté la disparition de Lady Diana. Surtout pour ses enfants, si jeunes. Mais l’eau a coulé sous les ponts depuis et, à présent, ces mêmes enfants sont des adultes. Je leur souhaite tout le bonheur possible. Mon souhait le plus intime serait que la royauté française revienne un jour. Ne serait-ce que pour un rôle symbolique, comme en Espagne, par exemple. Et pour se faire, j’aimerais monter une amicale de la monarchie. J’attends encore de trouver un associé, car je suis toujours seul sur ce projet, malgré mes appels. Et pourquoi pas un roi auvergnat ? J’hésite toujours entre Laurent Wauquiez, qui a les dents longues, et Valéry Giscard d’Estaing, malgré son grand âge. Alors, si quelqu’un est intéressé par mes idées et lit cet article, qu’il n’hésite pas à me contacter. »