À la retraite, Raúl Castro reprend la révolution à Notre-Dame-des-Landes

Raúl Castro n’a pas l’intention de profiter de sa retraite de chef d’Etat et a décidé de reprendre sa carrière de révolutionnaire à Notre-Dames-des-Landes.

Ravi d’avoir trouvé comment occuper son temps libre et renouer avec sa glorieuse jeunesse, Raúl se serait frotté les mains et aurait ajouté « Caramba, sa va sié. Macrone, ye vé le roulé como oun cigarro. » Emmanuel Macron prend la menace au sérieux.  La crainte que Raúl amène avec lui des stocks de rhum illimités prêts à être répandus dans tous les apéros de France est grande.

Lutter contre des mojitos

Les Zadistes ont déjà fait des stocks de fruits frais pour descendre des cocktails en série, et la convergence des luttes pourrait s’accélérer sous l’effet des toasts portés. Pour peu que les cheminots amènent les cacahuètes et le personnel hospitalier du citrate de bétaïne, la lutte pourrait se répandre et durer jusqu’à plus soif, soit ad vitam æternam car chaque jour nourrit sa soif. Emmanuel Macron ne disposerait à ce jour d’aucune stratégie pour contrer l’offensive : « Comment voulez-vous que je lutte contre des mojitos et des piña coladas ? », aurait-il demandé en conseil des ministres. Ce à quoi, personne n’aurait trouvé de réponse.

NDDL, un parfum de victoire annoncé

« El Macrone, y commiença à né plou faire lé malin ! Yé vé loui faire avalé son verre do y soun aspirina », fanfaronne Raúl. Le révolutionnaire devrait atterrir directement à Notre-Dame-des-Landes où les Zadistes tentent de construire un aéroport de fortune. Avec ses CRS (Cigares et Rhums Socialistes), il compte décimer les forces capitalistes avant l’été. La fumée de ses cigares pourrait euphoriser les gendarmes et son rhum saouler le gouvernement plus vite qu’une ordonnance.

© Pete Souza (Flickr) et jw100procent (Pixabay)