Après un Breton au Pape François, Emmanuel Macron présente un Auvergnat à Angela Merkel
« Il est où l’Auvergnat ? »
C’est par ces mots qu’aurait commencé l’échange entre le Président Macron et la chancelière allemande lors du conseil européen (28-29 juin). Puis Emmanuel Macron aurait enchaîné par : « C’est un trafiquant de fromages au lait cru dont les ancêtres approvisionnaient déjà les rois de France en Saint-Nectaire , n’est-ce pas Jean ? ». L’Auvergnat en question, conseiller en communication du ministre de l’intérieur, aurait répondu : « Moi c’est Julien ». Mais le Président n’aurait pas entendu la réponse et aurait continué fièrement sur sa lancée en présentant le leader d’un cartel de la drogue creusois et un tueur à gages savoyard.
Des Français tous plus dangereux les uns que les autres
Ainsi les Bretons mafieux ne seraient pas les premiers provinciaux à souffrir d’une réputation douteuse. Alors que la France entière pensait que l’ennemi public était pauvre, assisté ou cheminot, elle découvre qu’aux yeux du Président tous les Français sont potentiellement dangereux.
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