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Le gouvernement songe à rétablir l’esclavage et le travail des enfants pour rééquilibrer le budget 2025

Après la suppression des jours fériés, le gouvernement lance la piste du retour à l’esclavage et au travail des enfants.

Afin de mettre fin au lourd déficit qui secoue le pays et redresser enfin les finances de l’Etat, le gouvernement Barnier étudie de nouvelles pistes. Après la suppression d’un jour férié ou le non paiement des absences maladies, qui restent des mesurettes, les ministres souhaitent aller beaucoup plus loin. Le ministre de l’économie a proposé aujourd’hui toute une série de mesures efficaces, dont la suppression de toutes les vacances, des jours fériés -dont le dimanche-, le rétablissement de l’esclavage pour 90% de la population et le retour du travail des enfants dès l’âge de 8 ans.

Mettre fin à l’assistanat

Ces mesures devraient, en l’espace de seulement cinq ans, remettre le pays dans le droit chemin, permettant de renflouer les caisses tout en permettant aux 10% de classe dirigeante de vivre dignement. « Il est temps que les gueux se retroussent les manches et arrêtent de trouver des excuses. Notre programme met fin à l’assistanat », s’est vanté le ministre Antoine Armand. Il a été appuyé par le ministre de la fonction publique, Guillaume Kasbarian qui préconise la suppression de « ces feignasses de fonctionnaires payés à rien foutre », puisque le pays, à ce jour, n’a au fond pas besoin de système de santé ni de personnel éducatif ou de sécurité, à l’exception bien sûr pour les quelques plus riches.

Ne plus financer les retraités et les handicapés

Afin de s’assurer pleinement de la réussite du renflouement des caisses de l’Etat, le budget 2025 devrait adopter la fin du financement des retraites et l’abandon des indemnités pour les handicapés, dont le travail -ou l’absence de travail- ne permet pas de doper la productivité. Ces personnes pourront en revanche trouver de l’épanouissement dans un nouveau travail, comme serveur de collectivité ou employé d’usine sidérurgique. « Nous savons que cela peut paraitre abrupte, mais nous voulons le bien de tous les Français. Si chacun y met du sien, et avec le sourire, tout devrait bien se passer », a conclu le Premier Ministre Michel Barnier.

1 commentaire

  1. N’oublions pas la supression des journaux parodiques et de leurs  » journalistes » qui ne participe pas au redressement de la nation…….

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