Un ouvrier se trompe de « muraille de Chine » et détruit celle de la Chine

Le chantier de la destruction de la barre d’immeubles de Clermont Ferrand se poursuit et déjà un accident malheureux vient entacher les relations franco-chinoise.

Absent depuis le début de la démolition du bâtiment clermontois, un ouvrier a été retrouvé en Chine avec sa pelleteuse et des explosifs. Résultat, la destruction de l’une des plus grandes merveilles du monde. Mais l’homme se défend : « Ah mais c’est pour ça, je comprenais pas pourquoi j’étais le seul à bosser depuis le début ?! », s’exclame l’ouvrier. « Faut dire que c’était pas clair pour moi au briefing. On me dit « les gars, faut faire tomber la muraille de Chine, c’est moche et c’est ringard » donc j’y suis allé et… en fait c’était pas celle-là du coup ? Non parce que j’ai commencé, là, j’ai déjà posé les explosifs et ça va bientôt sauter. Après, c’est pas très beau non plus, faut pas en faire des caisses. Y aura certainement autre chose de mieux derrière, non ? »

La diplomatie mise à l’épreuve

Le président Xi Jinping a trouvé une nouvelle raison de se moquer de son homologue français en lui envoyant une photo dudit ouvrier dans un camp de redressement avec d’autres minorités opprimés avec comme texte « il est à toi celui-là ? » Mais la sentence ne devrait pas atténuer la colère des Chinois qui ont perdu leur plus grand édifice, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité. Voilà de quoi bien poursuivre les relations entre nos deux pays.