De nouveaux humains ont donc pu fouler le sol sélénite depuis 50 ans, et au lieu de retrouver le drapeau américain, ils sont tombés sur l’emblème de la région Auvergne et sa devise. Le mystère reste entier.
« Alors ça, on s’y attendait pas ! », s’étonne l’astronaute Thomas Pesquet. « Et à la place de dire une belle réplique pleine de profondeur, le spationaute a lancé c’est quoi ce délire, les mecs ? »
Dans le camp des contestataires, les platistes affirment encore et toujours que l’on ne peut pas atteindre une projection holographique sur le dôme de la Terre plate et que la nouvelle arrivée sur la Lune a été tourné dans un studio de cinéma avec comme argument, je cite : « et encore une fois on ne voit pas les étoiles sur les photos, faut pas nous la faire deux fois de suite ! »
Peut-être un début d’explication
Il faut aller chercher chez l’association auvergnate Auvergne mon Amour pour avoir un semblant de piste fiable. Car d’après ses membres, des propulseurs s’alimentant au méthane produit par les vaches salers servent aux fusées en carton des étudiants en astronomie pour faire de réguliers allers-retours sur la Lune afin d’y récolter des morceaux… de fromage.
« Bah oui, la Lune est faite en fromage, vous aviez oublié ? » s’étonne l’un des pilotes. « D’où croyez-vous que vienne le Saint-Nectaire, sérieusement ? On a profité d’un passage pour poser notre griffe, voilà tout. »
Ne manquerait plus que la confédération nationale de la boulangerie avance que la Lune est faite en mie de pain pour qu’elle entre en conflit avec celle des fromagers.