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Les inscriptions de Glozel seraient l’œuvre de Théo, trois ans, à la crèche du Mayet-de-Montagne

Les inscriptions de Glozel sont fascinantes. Elles prouveraient l’existence d’une écriture dans l’Antiquité et même durant le Néolithique dans l’ancienne Gaule. Cependant, de nouvelles recherches ont permis de démontrer qu’elles étaient beaucoup plus récentes.

Théo vient d’être découvert. Déconfit, encerclé par des dizaines de journalistes et d’archéologues, l’enfant avoue : « Oui c’est moi qui ait fait ces dessins. Je sais que ce n’est pas bien ». Mais la confidence est tardive et surtout inexcusable. Depuis des dizaines d’années, les historiens et archéologues se déchiraient sur ces inscriptions que l’on attribuaient soit à des faux, soit à une écriture mystérieuse du néolithique remettant en cause tous les travaux sur la naissance de l’écriture.

Enquête minutieuse

« Il est étrange que l’on parle de ces inscriptions depuis 1925 alors que l’enfant incriminé n’a que trois ans. Nous menons une enquête », explique l’inspecteur Jacob.  Selon lui, Théo serait le dernier maillon d’une chaîne de faussaires âgés entre deux et cinq ans, tous concentrés dans la crèche et l’école maternelle du Mayet de Montagne. « On a envoyé Théo en prison où il devrait être condamné à la perpétuité. Nous avons aussi incarcéré les autres enfants de la maternelle petite section par mesure de sécurité », a rassuré l’inspecteur. Les enfants de la crèche ont eu été condamnés à des travaux d’intérêt général.

Désormais, le mystère de Glozel est tombé et la justice enfin règne sur la montagne bourbonnaise.

 

Avec la collaboration de notre pigiste, Anne Fesskler

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